Il est toujours triste de voir une série policière que l’on a appréciée diminuer de qualité au fil des sorties. C’est hélas ce qui arrive avec notre cher commissaire Brunetti de la police de Venise. L’intrigue est quasi nulle et le coupable connu très vite sans qu’il y ait le moindre effort pour le dissimuler. L’anticléricalisme gratuit de l’auteur transparaît encore sans que l’on comprenne bien quel sens cela peut avoir dans le récit. Dommage…