Autant j’avais beaucoup aimé « Sept ans de bonheur », autant ce recueil de nouvelles (plus ancien en fait) m’a déçu. Sans doute parce que le genre m’a décontenancé et surpris et que je pensais rire. Or ces courts récits oscillent entre un humour noir à la Roald Dahl et des transformations animales à la Kafka. Mais la tonalité générale est plutôt sombre et désabusée. Pour les amateurs de nouvelles et d’un regard acide sur la réalité israélienne…