Alain Finkielkraut écrit ces chroniques, ces méditations, en 2009. Pour parler de l’humanité, de nos vies, il part de la littérature et a choisi neuf livres : La Plaisanterie de Milan Kundera, Tout passe de Vassili Grossman, l’ Histoire d’un Allemand de Sebastian Haffner, Le Premier Homme d’Albert Camus, La Tache de Philip Roth, Lord Jim de Joseph Conrad, les Carnets du sous-sol de Fédor Dostoïevski, Washington Square de Henry James, Le Festin de Babette de Karen Blixen. C’est un livre intelligent, cultivé, léger. Attentif à la singularité des humains et à leur liberté. Plus Camus que Sartre. Grâce à Dieu.