Puisant une fois de plus allégrement dans ses propres souvenirs, Akira nous raconte l’histoire d’un vieux japonais marié à une française très malade. Or voilà que Clémence S, une cantatrice qui l’avait charmé dans les noces de Figaro trente ans auparavant, lui écrit: les souvenirs remontent. Rien d’extraordinaire dans une intrigue faite de quelques rencontres mais il y a la magie de la langue simple et épurée, romantique et poétique, délicate et précise, de Mizubayashi. Pour ceux qui aiment Mozart et Akira, à ne pas manquer.