Deuxième volume des enquêtes du détective privé Cormoran Strike. Un écrivain médiocre disparaît à la veille de sortir un livre-brûlot révélant les turpitudes de nombreux autres écrivains et agents et éditeurs: sa femme charge Cormoran de le retrouver. Nous voilà dans le monde littéraire anglais. Tout est bien ficelé et les mêmes éloges et mêmes critiques peuvent être faites que pour pour le premier volume. JK Rowling écrit bien mais de façon trop égal: le rythme est trop lent tant dans l’enquête (100 pages en trop) que dans la potentielle relation entre Cormoran et Robin qui aurait déjà dû se conclure aisément mais qui, manifestement, prendra un temps quasi infini! Bref, honnête sans plus: seule la curiosité pour l’intrigue sentimentale peut, en tout cas pour moi (cela me rappelle le Ricciardi de de Giovanni), soutenir l’effort!