Chronique douce amère d’une amitié entre deux femmes de la classe populaire anglaise entre les années 70 et le COVID. Certes, il y a des traits d’humour, des scènes cocasses, un sens du comique de situation, mais, d’un autre côté, j’ai trouvé le vide spirituel tellement écrasant que cela transforme le portrait de ces vies en un exercice d’une incroyable (quoique sans partiellement inventaire) cruauté…. Rien à voir avec son premier roman (https://www.marcrastoin.fr/love-nina-dispatches-from-family-life-de-nina-stibbe/)…