[en français dans ‘Mon roman pourpre aux pages parfumées et autres nouvelles’] Cette courte nouvelle (50 p) nous introduit dans le monde des écrivains anglais de l’âge de l’auteur et des contraintes et angoisses qui pèsent sur tout écrivain. On ne saurait en dire plus sans trahir le cœur de l’histoire. C’est très bien écrit et très british sans que l’on puisse vraiment en tirer une quelconque morale… Brillant exercice de style dans la langue efficace et fine de McEwan. A lire plus pour l’anglais et la description d’une atmosphère que pour l’intrigue…