Première enquête de H. Greene comme consultant dans l »équipe des Cold cases. Volet décidément plus faible. D’abord le côté répétitif de l’écriture qui use et abuse des mêmes expressions (il faut arrêter avec curvaceous et hourglass!) et multiplie aussi les américanismes (détectés par le Oxford DE) de façon incohérente. En outre, si l’un des points forts de l’auteur est de choisir des enquêtes qui sonnent crédibles, ordinaires (sans serial killer machiavélique et motif obscur), ici les choses sont évidentes assez vite dans l’enquête principale tandis que la secondaire, fondée sur un stalker au sein de la police – et qu’en outre nous connaissons – parait totalement invraisemblable… On aime bien Hillary mais là l’auteur se lâche trop sur ses fantasmes au point de décrédibiliser son personnage principal et ses vapeurs romantiques (pourtant strictement sous contrôle d’ordinaire)