Dans le registre des livres, déception avec « Le principe » du Goncourt Jerôme Ferrari: la qualité indéniable de l’écriture, l’intérêt potentiel su sujet (la personnalité et le théorème de Werner Heisenberg), la concision ne peuvent compenser l’absence d’approfondissement de la thématique philosophique ou épistémologique. On ne va jamais au fond des choses et étonnamment seules les pages sur la vacuité de Dubaï demeurent à la fin dans la mémoire. Mais au-delà de son écriture superbe, l’auteur a t-il vraiment quelque chose à dire? Je m’interroge…
LIVRE – 04/03/2015 – Éditeur : Actes Sud