Troisième et dernier volet de la trilogie islandaise de Jón Kalman Stefánsson. Cela reste très plaisant mais c’est peut-être le moins réussi des trois du fait, je pense, d’une construction narrative plus hésitante et moins unifiée que les deux premiers. L’écriture reste magnifique mais plus par tableaux que de manière fluide. Il y a une profonde sagesse et humanité dans la façon dont il aborde ses personnages.