Contrairement aux apparences, un polar suédois (si, si, même si l’auteur vient de Grèce!) subtil où l’on est surpris de croiser Wittgenstein et de faire un détour par les pays baltes. Recommandé pour ceux qui ont aimé Petros Markaris, par exemple l’empoisonneuse d’Istanbul…
LIVRE – 2011 – Éditeur : Rivages/Noir