Une première moitié est très drôle, la deuxième plus conventionnelle. À partir d’un réfugié arménien survivant du génocide, l’auteur réfléchit sur l’identité et donc sur la paternité. C’est fin et léger mais fort aussi par sa manière discrète d’évoquer le génocide arménien. Une belle façon de rendre hommage aux victimes.
LIVRE – 2011 – Éditeur : Grasset