[Gilead en français] Il s’agit d’une sorte de journal spirituel tenu par le vieux pasteur John Ames. Il écrit en 1956 pour son fils qu’il a eu dans sa vieillesse. C’est l’un des plus beaux livres spirituels chrétiens que j’ai jamais lus… Je l’avais découvert grâce à mon ami Jean-Pierre Sonnet sj et, cette année, un compagnon jésuite américain a commencé une thèse sur l’auteur, qui obtint le Pulitzer en 2005 pour ce très beau roman tendre et fin.