Un film de Gabriel Le Bomin avec Lambert Wilson et Isabelle Carré. Nous suivons de Gaulle en mai – juin 1940 comme Les heures sombres le faisaient avec Churchill mais, hélas, le parallèle s’arrête là. Comme je le craignais, le film n’est pas mal fait mais terriblement prévisible. Le plus marquant, le plus touchant, ce sont les moments où est montré de Gaulle avec sa femme et en présence de sa petite fille handicapée Anne tant aimée révélant la place qu’elle avait dans son esprit. Mais cela ne suffit pas à sauver le film de sa médiocrité générale.