Avec son style inimitable, alliant classicisme français et poétique asiatique, un homme sage nous partage, comme à des amis, ce qu’il a cru comprendre de la mort, et par là de la vie. On aurait envie de tout citer dans ce concentré de sagesse. F. Chang n’impose rien, ne pontifie pas mais distille humblement et propose une cohérence. Tant de choses renvoient, subtilement, discrètement, indirectement, mais si profondément à l’évangile. A méditer, comme on lit Marc Aurèle ou Pascal.