Un film de Roy William Neill avec Dan Duryea, June Vincent, Constance Dowling et Peter Lorre (1946). Une femme fatale est assassine chez elle et un homme marié est accusé du meurtre: tout semble le condamner et il va être condamné. Pourtant sa femme va tout tenter pour le sauver, convaincu de son innocence tout autant que de sa trahison et elle va s’appuyer sur un musicien doué et alcoolique pour tenter l’impossible. Peter Lorre fait du Peter Lorre et il est toujours aussi glaçant. C’est un très bon noir, efficace et ménageant bien ses effets. Rarement une épouse aura été présentée avec autant de force dans sa décision de rester aux côtés de son mari, dans les bons comme dans les (très mauvais) jours. I loved it.